wearefamaly

A moi la life

Dimanche 5 décembre 2010 à 18:36




 Ces heures tardives ou les limites sont infinies, presque inexistantes, on se rabat sur des principes faux.

" ca n'arrive qu'aux autres" voilà une petite phrase qu'on pense inconsciemment quand on est ivre. 






Vendredi, allant dormir chez une amie ivre morte, Clara, nous avons pris sa voiture. Elle a conduit, bien qu'elle n'arrivait pas à aligner un peu devant l'autre. Nous avons failli mourir plusieurs fois, mais nos esprits étaient ailleurs puisque nous avions, à cinq, décidés de partir à Amsterdam le lendemain matin. 
Coucher 4h, levé 10h, il neige. Ca clignotait orange, mais non, nous étions bien décidés à partir. Very Bad Trip était notre hymne. Nous sommes à 1h de Paris, nos quatre visages, Marie, Romain, Mathilde et moi, se sont noircis. C'est dangereux, il neige, les routes sont glissantes et la radio nous suggère de retarder notre voyage, et d'être vigilant. Aussi, entre deux chansons, elle nous murmure :
" ici info routière, encore un accident sur la A1, retardez votre voyage ou arrêter vous le plus longtemps possible"
" On est sur quelle autoroute ?" j'ai demandé.
"Sur la A1 Juliette" -Rires-
"C'est une blague?" 
"Non Juliette !" -Rires-
Puis à 60km de Lilles, Romain, le seul, fait preuve de lucidité et de maturité et demande à s'arrêter. Clara pensait sincèrement que la route était bonne, alors Romain, Mathilde et moi avons décidés de s'arrêter à la ville la plus proche, Arras, et de faire demi-tour. 
Clara et Marie ont continués, Mathilde, Romain et moi avons pris le train pour Paris. 
Clara et Marie ont eut un accident à une heure d'Amsterdam. Elles n'ont rien, mais la voiture n'a pas supporté les tonneaux.
Si Romain n'avait pas ouvert sa gueule, j'aurais continué de fermer la mienne et aurais attendu cet accident. Je lui aurait ouvert les bras. Et peut-être même que je lui aurais fais un câlin pour le remercier de m'avoir punis.







 

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Samedi 13 mars 2010 à 19:09

La date ? impossible de se souvenir ! 30 janvier ( il me semble !), un lundi en tout cas, cest certain.
Une douleur inoubliable, une trace indélibile,  une joie inexplicable ! 

" on mappelle Coco, ou pintade, tout depend de laffinité que vous partagez avec moi !
Ou je suis, caché, discret, mais toujours en vue ! "



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Mardi 9 mars 2010 à 20:14

 long long long long longtime !
que j'attendais ce moment, ces moments.

Les cours finissent deux heures plus tôt, alors direction la cabane ou la villa de Maeva.
Clopes et coca (light bien sur), ça jazz. Les mecs, les meufs, les soirées, les souvenirs mais certainement pas le bac! les moments avec ses copines sont précieux en ces temps si. 

Deux jours qu'on rentre de vacances. Putin ça passe vite les vacances.
Val didi, je ne me souviens même plus de la couleur de ma couverture, encore moins de la gueule du mec que j'ai pu embrasser (avec un arriere gout alcoolisé, évidement).
En bref, je me suis maquée, j'ai niké. Frasie était et est maquée mais n'a pas niker avec celui ci. Maeva a enfin retrouvé la chaleur de son plan cul et sarah continue de rêver de bébés avec son Jules. 
On dirait que ce n'est rien, mais à 18 ans croyez moi ça a de quoi faire flamber les baraques à frites.

Je me rappelle de moi en 6ème : "pour ma première fois, j'aurais au minimum 18 ans, et il faudra que je sois au minimum depuis 1 an avec mon amoureux".
12 ans plus tard : " 18 ans, oui. En ce qui concerne les 365 jours, disons qu'ils sont passés en une nuit". 
Surprise ? un peu oui. Decue ? absolument pas. En grandissant, on se rend compte que l'importance ce n'est pas tellement avec qui tu le fais ( enfin si, faut pas choper le clochard de ta rue), mais c'est surtout comment tu le fais. L'importance à mes yeux est surtout d'avoir confiance en la personne, de te sentir à l'aise, enfin, de ne pas avoir l'impression de n'être qu'un simple trou.
Ca ne me rajeunis pas tout ça. 

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Mercredi 30 décembre 2009 à 11:58

 Ca manque de photos tout ça.

Mon frère au grenier avec son namoureuse, ma mere dans les ruelles normandes (surement entrain d'acheter le fromage), et moi, qui m' enmerde un peu, beaucoup meme, tapotte sur ce mac.

"On se gele les grelots dans s'pays ! " dit elle en courant vers le premier coffeeshop qu'elle trouve. Elle entre, et s'en meme adresser un signe de tête au serveur, se jette sur le premier sofa. Dans les coffee, les clopes sont interdites, alors elle attaque direct avec un petit pilon, plus ou moins bien roulé certe, mais fumable. Ces copines sont déjà loin, très loin. Elles l'a regarde et se mettent à rire. D'abord elle est un peu perplexe, et apres sa quatrième taff, elle rentre dans ce même monde. 
Le temps est passé bien vite. La voila dans le train, des souvenirs pleins les yeux, pleins la bouche, pleins les oreilles et pleins les narines. Et ouai !

Et puis, ah oui Noël ! Maman noël a été plutot sympa ! mais j'ai cette envie qui me ronge... : Rentrer à paris et dévaliser les boutiques. Et moins j'ai de friques, plus j'en ai envie. Qui vivra verra.

Je termine cette petite oeuvre rapidemment, il y a du bruit au-dessus de ma tête un peu frustrant. Je ne peux ni me concentrer, ni bouger. 

Mardi 8 septembre 2009 à 19:15

 Vite, vite, la rentrée a commencé. Pas le temps de réfléchir..
Je fais valser mes petits doigts sur le clavier (ma mere crois que je regarde un site de philo).
Je repense à tout à l'heure, en cours d'éco. J'étais en plein dans le cours, avec une petite goute de sueur sur le front, et la, je me suis arrêté d'un coup et je me suis mise à sourire. C'était les souvenirs des vacances qui me rattrapaient. 
Si j'avais le temps, je ferais une liste de tous ces délires incroyables. Mais nen, Platon m'attend !

Il y a du nouveau dans l'air. Un peu d'air sur terre.
Je sens cette année bien différente, bien plus compliquée en matière de boulo, et bien plus folle en matière de copines et même de mecs ! ( enfin tout est relatif).
j'aimerais dire beaucoup plus de choses, mais il y a gozilla qui rode dans les couloirs et j'ai rencar avec Platon !
 

"Ayant fixé la destinée spirituelle de l’âme, et donné sens à une existence à purifier, Platon 

peut revenir sur le corps. Ce dernier est rendu responsable de tous les maux. Des maux 

privés : maladies, amours, décès, craintes, etc... et des maux publics : guerres, dissensions, 

convoitises, désirs de possession (ce qui n’ira pas sans attirer à Platon des invectives 

célèbres : Platon, “ contempteur du corps ” dit Friedrich Nietzsche).  "

Philosophie quand tu nous tiens.

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